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09 août 2021
Aperçu des communiqués

L’emploi dans le canton de Berne en juillet 2021: Le chômage poursuit sa baisse

Le nombre de chômeurs a baissé en juillet dans le canton de Berne (-444 personnes, à 12 395). Le taux de chômage est inchangé à 2,2% (Suisse : inchangé à 2,8%). La décrue la plus marquée a eu lieu dans l’hôtellerie-restauration et dans la construction, comme en mai et juin. Presque tous les autres secteurs affichent eux aussi un taux de chômage décroissant. Corrigé des variations saisonnières, le chômage a régressé.

Les assouplissements du dispositif anti-coronavirus entrés en vigueur fin mai puis fin juin ont entraîné une hausse de la demande de personnel dans l’hôtellerie-restauration (-168 personnes au chômage). Comme les mois précédents, le chômage a reculé dans la construction (-85 personnes). L’évolution est similaire dans presque tous les autres secteurs.

La hausse du chômage courante en juillet et en août parmi les adolescents et les jeunes adultes ne se dessine pas vraiment : le nombre de chômeurs a progressé chez les 15-19 ans (+36 personnes), mais il a poursuivi sa baisse chez les 20-24 ans (-69 personnes).

Corrigé des variations saisonnières, le chômage a fléchi par rapport au mois précédent. Il est passé de 2,5% à 2,3% (lire les explications dans l’encadré).

Le chômage a reculé dans tous les arrondissements administratifs. La baisse la plus forte s’observe dans les arrondissements du Haut-Simmental-Gessenay et d’Interlaken-Oberhasli. Le taux s’inscrit dans une fourchette allant de 0,7% (Frutigen-Bas-Simmental) à 4,2% (Bienne). Il se situe à 3,9% dans le Jura bernois.

Fin juillet 2021, le canton de Berne comptait 2097 chômeurs de moins qu’à fin juillet 2020.

En juillet, 241 demandes de chômage partiel ont été déposées pour 1597 personnes (contre 510 demandes pour 3737 personnes en juin 2021).

Des informations complémentaires sont en ligne sur www.be.ch/donnees-economiques.

Nota bene

La correction des variations saisonnières permet d’étudier l’évolution conjoncturelle des chiffres du chômage en éliminant des statistiques mensuelles les influences saisonnières habituelles. Ces variations saisonnières sont liées par exemple aux conditions climatiques (hôtellerie et restauration, construction) ou au calendrier institutionnel (fin des formations, jours fériés, vacances).

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