Selon les espèces concernées, les détenteurs et détentrices doivent identifier et enregistrer leurs animaux. Les personnes qui détiennent des animaux à onglons, des équidés ou des volailles doivent par ailleurs enregistrer leurs effectifs d’animaux dans la banque de données nationale sur le trafic des animaux.
Chiens
Les chiens doivent être munis d’une puce électronique et être enregistrés dans la banque de données sur les chiens Amicus.
Animaux à onglons
Les détenteurs et détentrices de bovins, d’ovins, de caprins et de porcins doivent identifier leurs animaux au moyen de marques auriculaires BDTA officielles.
Les entrées et sorties d’animaux ainsi que la participation à des marchés et expositions doivent être saisies dans la banque de données sur le trafic des animaux (BDTA).
Equidés
Les chevaux, ânes et poneys doivent être munis d’une puce électronique.
Le trafic d’équidés doit être notifié à la banque de données sur le trafic des animaux (BDTA).
Banque de données sur le trafic des animaux (BDTA) : lien via Agate
Abeilles
Les ruchers doivent être identifiés au moyen d’une plaquette et un registre des effectifs (entrées, sorties, emplacements, dates de déplacement) doit être tenu.
Camélidés de l’Ancien et du Nouveau Monde
L’obligation d’identifier les Camélidés au moyen d’une puce électronique a été introduite avec la révision de l’Ordonnance sur les épizooties du 31 août 2022.
Tous les camélidés de l’Ancien Monde (chameaux, dromadaires) et du Nouveau Monde (lamas, alpagas) nés après le 1er novembre 2022 doivent être identifiés au moyen d’une puce électronique.
Ces nouvelles dispositions ne concernent pas les animaux détenus dans des zoos.