Il y a un siècle, le parc d’animaux sauvages« Pierre et Paul»,à Saint-Gall, accueillait les premiers bouquetins venus d’Italie. Ils ont servi de base au programme de reproduction d’un animal qui avait disparu dès le XVIIe siècle. Le canton de Berne a joué un rôle essentiel dans ce processus. Aussi a-t-il décidé de célébrer l’événement, le 7 octobre prochain, avec des manifestations au Brienzer Rothorn et au parc animalier du Harder,à Interlaken.
Le parc zoologique du Harder,à Interlaken, est le deuxième de Suisseà avoirélevé des bouquetins de pure race en vue de leur réintroduction dans les Alpes. Son importance s’est accentuée lorsque des maladies empêchèrent le parc« Pierre et Paul» de continuerà fournir des bouquetins. Une autre phase cruciale commença lorsque la colonie de bouquetins du Augstmatthorn devint de plus en plus importante entraînant des dommages et donc des plaintes de la part des paysans et des bûcherons. Des demandes d’autorisation de tir s’élevèrent ainsi dès les années 1930. Les surveillants de la chasse du canton de Berne et le parc zoologique alpin ont alors développé une méthode pour attraper les bouquetins sauvages, ce qui permettaità la fois de réduire les dommages et de créer des conditions favorablesà la poursuite de la propagation de l’espèce dans les Alpes. Les animauxétaient en effet relâchés dans d’autres secteurs du canton et de Suisse, où ils formaient de nouvelles colonies. La méthode aégalementété adoptée par d’autres cantons comptant des populations de bouquetins, en particulier les Grisons et le Valais. Ces cantons ont ainsi transféré plus de 100 bouquetins par an dans les années 1960.
Plus de 13 000 bouquetins vivent aujourd’hui en Suisse, dont une centaine dans le canton de Berne. Ils occupent tous les terrains qui leur sont favorables. La chasse a repris : depuis 1991, 500à 1 000 bouquetins sont tirés en Suisse tous les ans, mais ces tirs sont strictement encadrés par des prescriptions fédérales.
Des informations complémentaires sont disponibles sur Internet, aux adresses suivantes:www.steinbock2006.ch,www.be.ch/chasseetwww.soerenberg.ch.
Pour tout complément d’information veuillez vous adresser aux personnes suivantes:
Le parc zoologique du Harder,à Interlaken, est le deuxième de Suisseà avoirélevé des bouquetins de pure race en vue de leur réintroduction dans les Alpes. Son importance s’est accentuée lorsque des maladies empêchèrent le parc« Pierre et Paul» de continuerà fournir des bouquetins. Une autre phase cruciale commença lorsque la colonie de bouquetins du Augstmatthorn devint de plus en plus importante entraînant des dommages et donc des plaintes de la part des paysans et des bûcherons. Des demandes d’autorisation de tir s’élevèrent ainsi dès les années 1930. Les surveillants de la chasse du canton de Berne et le parc zoologique alpin ont alors développé une méthode pour attraper les bouquetins sauvages, ce qui permettaità la fois de réduire les dommages et de créer des conditions favorablesà la poursuite de la propagation de l’espèce dans les Alpes. Les animauxétaient en effet relâchés dans d’autres secteurs du canton et de Suisse, où ils formaient de nouvelles colonies. La méthode aégalementété adoptée par d’autres cantons comptant des populations de bouquetins, en particulier les Grisons et le Valais. Ces cantons ont ainsi transféré plus de 100 bouquetins par an dans les années 1960.
Plus de 13 000 bouquetins vivent aujourd’hui en Suisse, dont une centaine dans le canton de Berne. Ils occupent tous les terrains qui leur sont favorables. La chasse a repris : depuis 1991, 500à 1 000 bouquetins sont tirés en Suisse tous les ans, mais ces tirs sont strictement encadrés par des prescriptions fédérales.
Des informations complémentaires sont disponibles sur Internet, aux adresses suivantes:www.steinbock2006.ch,www.be.ch/chasseetwww.soerenberg.ch.
Pour tout complément d’information veuillez vous adresser aux personnes suivantes:
- M. Peter Juesy, inspecteur de la chasse, Direction de l’économie publique, codirecteur du comité d’organisation, au 031 720 32 12 ou au 079 222 40 02;
- Mme Carolina Rüegg, responsable du marketing des remontées mécaniques de Sörenberg, codirectrice du comité d’organisation, au 041 488 12 36 ou au 079 346 31 85.